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samedi 2 août 2014

Compte rendu du 26 juillet par Dédé

Contre toute attente, l'atelier de ce 26 juillet affichait, en ce mois de vacance, complet et même plus que d'habitude avec 10 participants à officier autour du piano. En effet, ce sont 5 nouveaux et 5 anciens qui m'ont accompagné dans cette aventure estivale. Alain et Raymond avec leurs épouses respectives Geneviève et Christine, sont venus pour une première. Petit détail, ce sont des amis d'adolescence et hors mis une rencontre le mois dernier, cela faisait environ 45 ans qu'on ne s'était vu. Dire "qu'on n'a pas changé", serait exagéré, mais il y a encore de beaux restes.
Marion et Jérôme sont venus avec Ange et un autre nouveaux, Yann. Ce quatuor aura largement contribué à abaisser la moyenne des âges. Édouard a remis le couvert depuis fort longtemps et Isa aura une fois de plus excellé dans l'art et la manière de préparer les ingrédients. Une vraie pro en devenir.
La matinée a passé à Très Grande Vitesse, et Raymond, grand musicien devant l’Éternel aura pratiqué ses première gammes, non pas à la mandoline, mais au couteau. Ce sont là, des partitions qu'il ne connaissait pas, mais déchiffrées avec maestria. Les autres nouveaux n'étaient pas en reste non plus. Tous de futurs accros à la cuisine.
Petit morceau d'anthologie, avec la préparation des chipirons. Il y en avait tout de même 3 kg et la séparation des tentacules et des corps, n'a pas été un exercice facile à pratiquer. Bref, toute la mise en place, des légumes et crustacés, aura ravi les yeux avant le palais.
Passons sur tous les préparatifs et place au dressage. Tout le monde s'y afférait sans en perdre une miette et refaire plus tard. Passant à table pour la dégustation, c'est le ravissement autant des nouveaux que des anciens. Preuve en est que les bonnes choses ne lassent pas. Tout dans les gouts du moment. De saison et plein de fraicheur. Non pas pour suivre une mode mais par conviction. L'entrée aux légumes croquants déjà conjuguée au passé, c'est la cuisson des chipirons en deux versions qui aura retenu notre attention. A la poêle et "cuits de peur" selon un procédé déjà expérimenté, et une rapide réchauffe des légumes gardés croquants. L'exercice de dressage reprit ses lettres et dans la foulée, la dégustation du plat de résistance. Aucun commentaire désobligeant à son égard. Parfait. Un rosé du Languedoc nous aura accompagné tout au long du repas, comme d'habitude avec bonheur.
Une fois n'étant coutume, nous avons terminé, avant le café, avec un dessert au fruits du moment. Des abricots poêlés au romarin et son miel idoine. Le dessert était en fait le premier travail réalisé par les chefs du jour, et d'une simplicité biblique. A refaire sans modération.  

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Mise à jour : 20 décembre 2016